CONSEIL MUNICIPAL

Petits retours du conseil municipal du 29 septembre 2015

1. Compte-rendu non conforme à la réalité ! Vote contre de l’opposition.
La réunion du conseil commence traditionnellement par le vote d’approbation du compte-rendu du précédent conseil, celui du 9 juillet.
Et là, rien ne va plus ! Mauvaise surprise …
Nous avons tous voté contre ce compte-rendu pour une seule raison, grave à nos yeux.

Un vote important n’a pas été enregistré tel que nous l’avions formulé.
Il s’agit du vote concernant la procédure de classement d'office.
De quoi s’agit-il ? De parcelles de terres, des chemins, ou bords de chemins, très largement empruntés, que la mairie souhaite faire passer en classement d’office, c’est-à-dire rendre communaux. Et ceci, sans indemnité aucune pour les propriétaires.
C’est un sujet sur lequel nous n’avons pas les mêmes visions au sein de notre groupe, et, tout naturellement, les votes ont reflété cette diversité : l’un a voté pour, trois se sont abstenus (en raison de l’absence d’indemnisation), un dernier a voté contre.
La non indemnisation invoquée par Véronique Galliot, comme raison du vote d’abstention, est bien notifiée dans le compte-rendu, mais le vote correspondant dans le procès-verbal – abstention -  n’est pas conforme à la réalité : le compte-rendu indique 5 contre et un pour.
Si nous avions pu enregistrer nos débats, nous aurions apporté la preuve de nos dires.
C’est très grave, car c’est un sujet important, et nous sommes absolument certains de nos votes. M. Juloux est même allé jusqu’à prétendre que « nous avions changé d’avis », ce qui nous paraît scandaleux : c’est lui qui n’a pas enregistré correctement notre vote.

Cela nous conforte dans l’idée :
-          de contrôler mieux la prise en compte de nos votes et dires ;
-          de l’absolue nécessité d’enregistrer tous nos débats.


Sur ce dernier point, la préfecture nous a donné entièrement raison : nous avons tout à fait le droit d’enregistrer tous les débats, et de les faire figurer sur notre blog. Ce que nous ferons dans les meilleurs délais.

2. Disparition d’un point à l’ordre du jour : l’acquisition illégale d’un terrain au Grand-Léty
Nous devions voter pour l'acquisition par la commune d’un petit terrain au Grand-Léty.
Cela est impossible pour plusieurs raisons.
1.       Le bon sens a eu raison des idées farfelues de la mairie
Ce terrain, petit et enclavé dans d’autres parcelles déjà utilisées par un agriculteur, est dans une zone humide.
En aucun cas, il ne peut être l’objet d’un échange dans le cadre des expropriations à venir pour la constitution de la ZAC des Hauts-du-Sénéchal : c’est pourtant vraisemblablement l’intention qu’avait la commune en souhaitant l’acquérir ! S’il n’a jamais été cultivé et qu’il sert à faire boire les animaux, c’est bien qu’il est impropre à la culture… Aucune importance pour l’équipe en place : un terrain vaut bien un autre terrain ! Sur le papier et pour ceux qui ne se penchent pas sur la vie et le métier des agriculteurs …  Et les plaintes actuelles concernant le PLU mettront en évidence cette question. Nous y reviendrons ci-dessous en évoquant cette « politique des confettis ».
2.        La législation vient au secours des agriculteurs et du bon sens

En effet, la SAFER a jugé, au plan local avant de le confirmer aux plans régional et national, que ce terrain devait revenir en priorité à un agriculteur qui en demandait l’usage pour ses chevaux.

Il est choquant de constater que la mairie a mis en délibération une acquisition alors qu’elle savait pertinemment qu’elle serait déboutée.
C’est choquant pour trois raisons :
-          Il s’agit d’intimider, d’agir en force, d’engager un bras de fer avec les agriculteurs : bravo la méthode !
-          la mairie œuvre donc contre les intérêts des agriculteurs : bravo la défense des citoyens !
-          la mairie n’a toujours pas de réserves foncières disponibles : bravo la politique foncière de la commune !

Petit aparté sur la politique d’urbanisation de la commune : une « politique des confettis » qui va à l’encontre de la préservation des terres agricoles et de l’intérêt des habitants !
Le P.L.U. (Plan Local d’Urbanisme) voté l’an dernier a entériné l’absurdité d’additionner des « choux et des carottes ». Explication :
La future grande ZAC de 17 hectares …
La mairie souhaite développer très vite la ZAC des Hauts-du-Sénéchal, sur une surface de 17 hectares.
Ces terres sont parmi les plus fertiles de la commune : traditionnellement les agriculteurs construisaient leurs maisons tout près des meilleures terres.
Il est donc indispensable et obligatoire pour la commune, d’échanger ces parcelles cultivables et cultivées, par des surfaces équivalentes de terre de qualité comparable.
La mairie est donc à la recherche de ces 17 hectares : à tout prix, et dans n’importe quelles conditions ! Vous allez comprendre …
… nécessite de trouver de grandes parcelles d’une surface totale de 17 hectares en échange …
L’exemple du Grand-Léty est édifiant : il est évident que si cette acquisition avait été réalisée, l’agriculteur devenu propriétaire de cette terre inexploitable en échange d’une bonne terre déjà exploitée aurait été victime d’un marché de dupes !
La mairie ne trouvant pas suffisamment de terres a adopté une autre méthode, tout aussi farfelue et qui spolie les propriétaires : il s’agit de la « politique des confettis »
… que la mairie trouve dans une multitude de « confettis » …
De nombreux terrains de particuliers qui étaient constructibles ont  changé de statut avec le nouveau PLU. Ainsi, l’exemple-type est le suivant : sur un terrain de 1000 m², la maison et le pourtour immédiat restent en zone constructible, sur environ 500 m² par exemple, alors que le fond du jardin, d’une dimension d’environ 500 m², devient lui inconstructible.  Sur le papier cette parcelle est exploitable par un agriculteur. C’est de la magie !  Merveilleux ! Il est désormais possible, toujours sur le papier, d’additionner ces « confettis », ces petites parcelles de 500 m², pour en faire administrativement de « grandes parcelles agricoles ». Elles  sont dispersées, ne sont pas  accessibles aux engins agricoles ; elles ne sont donc pas exploitables : aucune importance ! Ce qui compte, c’est que l’on puisse afficher que la somme de tous ces « confettis »  va atteindre 17 ha, soit la surface consommée par l’édification de la ZAC.   
… en allant contre toute vision environnementale de la gestion des espaces et en spoliant agriculteurs et propriétaires !
Résultat :
-          les agriculteurs sont spoliés : jamais ils ne pourront exploiter ces jardins potagers ou « confettis » ;
-          les propriétaires sont spoliés : la valeur de leurs parcelles constructibles devenues agricoles est fortement dégradée ;
-          la terre agricole n’est pas préservée : de grands espaces vont être « bétonnés », alors qu’il est essentiel de conserver au maximum nos terres agricoles, comme l’exigent – avec bon sens - toutes nos politiques environnementales nationales et européennes, depuis des années ;
La densification de l’habitat n’est pas réalisée : il aurait été plus judicieux de construire dans ces « confettis », dont la taille est appropriée à l’habitat, et de conserver le plus longtemps possible les grandes parcelles agricoles et arables.

Tels ne sont pas les choix de l’équipe en place. IL S’AGIT D’UN MANQUE DE VISION ÀLONG TERME, UNE FAUTE GRAVISSIME. 

3.         Réseau d’assainissement.
Nous avons voté à l'unanimité pour une demande de subvention afin d'effectuer des études diagnostiques des réseaux d'assainissement collectif et schémas directeurs.

4.      Espace musique danse ludothèque
Concernant Les subventions pour  le nouvel espace musique-danse-ludothèque, Véronique Galliot a souhaité ne pas prendre part au vote, dans la mesure où elle est directement concernée par le sujet.
Les autres membres du groupe se sont abstenus, non pas parce que le groupe d’opposition est contre ce projet, mais  pour des raisons déjà évoquées, lesquelles sont, hélas, récurrentes :
-           encore une fois -  des dépenses colossales engendrées : 868 000 euros sans le terrain, dont environ la moitié directement sur le budget de la commune, l’autre moitié également payée par les contribuables, sous forme de subventions ;
-          encore une fois- des associations pas  ou peu écoutées, malgré les dénégations de M. Juloux.
À noter de notre part :

- pas d'accès aux bus, pourtant indispensable pour de nombreuses activités de certaines associations,
- pas d'étude de marché pour évaluer les réels besoins du secteur (habitants, pratiques musicales, de danse et de jeu). La ludothèque permettra de monter des parties de scrabble ou autres jeux de société …
- un espace de 570 m² qui ne correspond pas à de nombreuses demandes (certaines associations), ou va au-delà des espérances pour d’autres (d’autres associations, sont évidemment « très contentes », car elles n’avaient jamais imaginé un tel luxe ! On ne peut pas refuser une proposition mirifique qui « ne coûte rien », au moins pour ceux qui ignorent le monde économique…)
- un budget initial de 500 000 euros. De combien va-t-il encore augmenter, au fur et à mesure que « s’affine » le  projet ? En effet, il nous est sans cesse rétorqué qu’au fur et à mesure de l’affinement d’un projet, ce dernier « coûte plus cher » …

- n'y a-t-il pas de solutions plus économes ? La réponse est toujours négative : il faut toujours du neuf, car plus subventionné, du plus grand, car mieux subventionné, du plus beau, car l’égo est comblé (provisoirement, hélas)  … Ont-ils oublié  que nous sommes en période de crise durable, que les caisses sont vides, que l’Etat est lourdement endetté, que les subventions viennent également de nos poches ? Et pourtant notre commune est l’une des premières à critiquer ouvertement la réduction des dotations de l’Etat aux collectivités locales.

Cela aurait pourtant été l’occasion rêvée de montrer qu’on avait – enfin - compris le lien entre :
-          l’argent qui rentre – les dotations – on en a moins !
-          l’argent qui sort – les projets – on les réduit ou on les fait à moins cher !
Mais visiblement ce raisonnement, que toute famille connaît bien en période de vaches maigres, est totalement étranger à l’équipe en place, elle qui continue à courir après toutes les subventions possibles pour des projets plus pharaoniques les uns que les autres.

 5.   Aménagement urbain du centre bourg: demande de subvention

Le projet est lancé, très vite, après une courte phase de consultation.
 Véronique Galliot demande qui était invité lors des concertations, combien de réunions ont eu lieu, et quelle méthode de concertation a été mise en œuvre ?
Il s’agit d’une trentaine de personnes visiblement triées sur le volet, lors de 4 réunions de 2 heures. Comme nous l’avons constaté, il n’est pas possible de créer de toutes pièces un tel projet en 8 heures de réunion.
 Ce sont surtout les points de détail qui font l’objet d’une concertation approfondie : « faut-il du macadam beige ou marron à cet endroit » ?
La vision globale du projet était déjà prête :
-          ouvrir au maximum l’espace ;
-          le rendre très minéral, c’est-à-dire quasiment sans espaces verts ;
-          avec des places de parking.
Une vraie concertation aurait consisté à partager la philosophie même du projet, avec différentes options :
-          ouvrir l’espace ou pas ;
-          prévoir de vrais espaces piétons et paysagers au détriment de la voiture, reléguée à la place Nava, ou pas ;
-          etc.
Dans de nombreuses communes, des réunions sont organisées puis renouvelées, sur plusieurs mois, ouvertes à tous, avec urbanistes et experts en tous genres, et le projet est co-construit au fur et à mesure.
À Clohars-Carnoët, sur ce sujet comme sur d’autres, la méthode est toujours la même.
Il y a 2 agendas parallèles :
-          le premier agenda est celui de l’équipe en place, qui sait déjà dans les grandes lignes quel est son projet, et qui avance de manière autonome : c’est le vrai agenda ! Mais il est masqué et totalement caché aux habitants. Dans cette manière de faire, M. Juloux décide quasiment seul, puis présente les résultats comme s’ils émanaient de la population. Notre élu considère qu’il a écouté et entendu ses concitoyens, même s’il ne prend pas en compte leurs souhaits ;
-          le deuxième agenda est celui que l’on montre dans la communication, la presse, le hall de la mairie et les réunions de citoyens : on y parle de détails du projet en faisant croire qu’on construit ensemble les choses. On prend les gens pour des enfants … au mieux ! C’est l’agenda pipeau !

Parmi les demandes particulières qui n’ont pas trouvé écho auprès de la mairie :
-          le maintien de certaines plantations, et de manière plus large, le caractère vert ou minéral du nouveau visage de cette place ;
-          la circulation autour de la place : plusieurs schémas étaient a priori envisageables, mais seule, une solution émerge ;
-          les toilettes publiques. La solution temporaire ne devrait durer que pendant les travaux seulement
-          le muret devant le parvis de l’église : effectivement, David Rossignol a reconnu – mais sur ce point uniquement ! - que son équipe était allée à l’encontre de l’avis de nombreuses personnes…
-          le monument aux morts : il est actuellement relégué derrière la mairie et des souhaits ont été émis, mais pas entendus, pour lui faire reprendre sa place devant l’église. Notre question est restée sans réponse pendant le conseil.

M. Rossignol considère qu’il y a eu un grand travail de concertation et se décerne un satisfecit : « tout va bien, tout le monde est content ! ». Nous qui représentons la moitié des Cloharsiens avons des échos bien différents…
Nous considérons qu’il s’agit d’une « démocratie de façade ».
Vote : 5 abstentions, un pour.


6. Demandes de subventions pour le programme d’investissement des équipements professionnels de la pêche à Doëlan 

Un grand merci à Marc Cornil qui a fait remonter à la mairie à plusieurs reprises la vétusté des infrastructures du port. Enfin, il est entendu et les travaux de rénovation de boxes, d'étals, de la machine à glace... vont pouvoir débuter.
Nous votons pour.

7.      Port du Pouldu-Laïta : construction d’un local pour la capitainerie et la SNSM

La SNSM va prêter la somme nécessaire à la mairie pour la construction d'un local pour la capitainerie et la SNSM. Le remboursement se fera sur trois ans.
Nous votons pour.

8.      Autorisation de signer le marché de travaux pour l’aménagement urbain du centre bourg
Nous nous abstenons car il y a un manque de concertation évident. Nous rappelons au maire que nous sommes pour cet aménagement – qui figurait dans notre programme de campagne en 2014 - mais en y associant étroitement l’ensemble de la population cloharsienne.

9.      Vie municipale

Vie municipale:
La rue de Lorient devient route de Lorient.

On nous informe que l'ancienne bibliothèque est mise à la disposition de réfugiés syriens.
Pour la ZAC, un commissaire enquêteur sera nommé fin octobre.

10.      Rapport sur l’assainissement collectif

Des rapports nous sont remis et présentés lors du conseil. Nous posons les questions suivantes.
Les taux d’impayés et de réclamation sont renseignés page 16 à « sans objet ». Sont-ils vraiment nuls, comme le dit M. Rossignol, ou bien ne sont-ils pas renseignés ? Dans tous les cas, cette information ne nous paraît pas « sans objet ». Nous attendons des confirmations, avec éléments à l’appui.


11.      Rapport du syndicat des eaux de Riec sur Belon

Nos syndicats des eaux sont organisés en « poupées russes » : nous dépendons du syndicat de Riec, et lui-même dépend du syndicat de Quimperlé. D’où la nécessité d’avoir deux rapports.

Page 2 : dégâts dus aux crues.
Sur le rapport du syndicat de Riec, en page 2, une note de bas de page indique que l’Aven était en crue en février 2014, d’où le recours à l’eau produite par le moulin du Plessis, à Pont-Aven. Nous demandons ce qui a été fait ou prévu de faire en cas de nouvelles crues, de sorte que les problèmes d’ensablement soient moins lourds. La réponse de Mme. Guidollet est que des bassins tampons sont prévus. Nous attendons le détail de ces travaux ainsi que leur plan de réalisation et leur financement.

Page 8, recettes d’exploitation.
Les recettes d’exploitation comprennent celles de la collectivité et celles de l’exploitant. Alors que les recettes de l’exploitant sont compatibles avec l’augmentation du volume vendu (plus 1,8%, voir page 4), les recettes de la collectivité sont en baisse (-1,76%), baisse à laquelle s’ajoute une régularisation négative de plus de 8000€. Pourquoi ? Nous attendons toujours une réponse documentée sur ce point important.

Page 12 : connaissance et gestion patrimoniale du réseau.
Notre syndicat est bien noté selon la grille maintenant obligatoire depuis 2013. Cependant, au point VP248, il apparaît qu’il n’existe pas de programme pluriannuel de renouvellement des canalisations. Qu’est-il prévu dans ce domaine ? La réponse manque de clarté et un point complémentaire s’impose.

Il convient en effet de ne pas laisser le réseau se dégrader ; or, en page 13, il apparaît que le rendement du réseau a baissé de plus de deux points entre les années 2010-2012 et 2013-2014. M. Juloux tente une explication nationale : la politique de regroupement des syndicats souhaitée par le gouvernement Sarkozy aurait freiné les programmes de maintenance des canalisations. Chacun se fera son opinion sur cette explication pour le moins étonnante !

Page 15. Programmation des travaux 2015
Les deux tiers du programme (1 400 000€ sur 2 000 090) sont consacrés à une participation aux travaux d’interconnexion des réseaux avec le syndicat de Quimperlé et celui de Pont-Aven. Or, il apparaît que le syndicat a déjà des conventions d’échange avec eux, conventions utilisées du reste en 2013 et 2014. Pourquoi donc ces travaux ? Nous attendons toujours la réponse.


12.      Syndicat mixte de production d’eau de Quimperlé

Comme indiqué plus haut, ce syndicat regroupe Quimperlé et les syndicats de Mellac et de Riec, ce dernier objet du rapport précédent.

Page 22 et 23 : qualité de l’eau

Il est satisfaisant de constater que la teneur en nitrates des eaux de surface a beaucoup diminué, depuis 1994, sur l’Isole, et depuis 1998 sur l’Ellé. Ce taux doit être inférieur à 20 mg/l. Ces résultats sont largement imputables aux politiques nationales menées depuis des années sur ces sujets.

13. Questions de citoyens:
M. Montreuil interroge le maire sur la culture d'algues, ce dernier ne dispose pas d'informations à ce jour concernant Doëlan.

M. Lecourt (ancien conseiller de M. Juloux) se demande comment gérer la commune avec une telle baisse des dotations de l'État. (Diminution d’1,7 M€ en trois ans pour Clohars, soit environ 600 000 euros par an).
En outre, il suggère au maire d'acheter la maison des kinésithérapeutes afin de rendre plus agréable l'entrée de la commune. Selon lui qu’il s’agisse de l’entrée de la route de Quimperlé, de Moëlan ou de Lorient : « ce n'est pas terrible ». M. Juloux répond que la priorité de la commune est l’acquisition de terres agricoles (voir notre point plus haut) et non l’acquisition d’immobilier.


Prochain conseil le 15 octobre

-----------------------------------------------------------------------------------------
Petits retours du conseil municipal du 2 juin

Et voici le compte-rendu du dernier conseil …

LES CITOYENS INTERVIENNENT COMME DES ELUS
Bien sûr, ce compte-rendu du conseil municipal du 9 avril mentionne la suspension de séance et le vote de la motion relative à la manifestation des parents de Saint-Maudet. Sur le fond, nous sommes bien sûr pour le maintien de cette classe. Mais la méthode est pour le moins peu orthodoxe :
Ce sujet n’étant pas à l’ordre du jour, et ce sujet étant porté par des parents d’élèves et non des élus, ni son existence, ni la « motion » votée n’auraient dû figurer au procès-verbal. Ce sujet aurait dû être traité comme une question du quart d’heure citoyen, qui n’est strictement jamais relayée au procès-verbal.
Lorsque Véronique Galliot demande si nous aurions la possibilité, de la même façon, de laisser s’exprimer des Cloharsiens mécontents sur un sujet d’importance, la réponse est immédiate, claire et nette : « c’est non ! »
Il y a bien 2 poids 2 mesures à Clohars …

L’ENREGISTREMENT DES CONSEILS MUNICIPAUX REFUSE
Véronique Galliot informe le maire qu’elle enregistre le conseil, comme le droit l’y autorise, comme elle avait prévenu qu’elle le ferait en 2015, et comme la majorité des communes le font, telles Guidel et Quimperlé.
Le maire refuse net et demande l’interruption de l’enregistrement. Il s’appuie sur l’interdiction des enregistrements du règlement intérieur de la commune : cette interdiction n’existe pas, et serait illégale (CE, 2 oct. 1992, Cne de Donne­ville, n° 90134).
C’est un déni de démocratie et un manque de respect du droit. On savait le maire opposé à l’open data, ce mouvement qui tend à une plus grande transparence des données publiques au profit de tous : on le découvre hermétique à toute idée de partage des informations et tout travail de mémoire.
Véronique Galliot s’exécute et quitte le conseil, marquant ainsi son profond désaccord. Le groupe Vivre Ici fera connaître son point de vue auprès des instances compétentes.

LE REFUS D’INFORMER LES CLOHARSIENS SUR DE NOUVEAUX EMPRUNTS
Lors du conseil municipal du mardi 2 juin 2015, le maire nous informe de la souscription d’un nouvel emprunt sur 24 mois, pour finaliser le financement de la station d’épuration et de ses réseaux ; ce financement est mis en place en attente du versement de subventions et d’aides diverses. Mais de quel type d’emprunt s’agit-il ? Mystère …

De trésorerie, de prêt-relais, d’un prêt amortissable, et avec quelles modalités de remboursement ? Est-ce un remboursement mensuel ou annuel, et surtout, est-ce un remboursement « in fine », si lourd ? Autre question, à quel taux est consenti ce prêt ? Est-il fixe ou variable ? Et dans ce dernier cas, est-il « capé », c’est-à-dire bénéficie-t-il d’un plafond, d’un taux maximum qui ne peut pas être dépassé ? Sur tous ces points, nous n’avons pas de réponse.

Pour toute information, le maire se contente de nous dire qu’il existe : « … une marge de 1,53%... ». Ce taux concerne-t-il le taux du prêt, ou comme le laisse entendre l’ordre de jour du conseil municipal,  la marge de la banque ? Depuis quand une banque annonce-t-elle à ses clients son gain !? Les banques conservent jalousement cette information secrète !! Et d’ailleurs, cette marge est considérable dans les conditions actuelles pour n’importe quelle banque …
Dans ce cas,  quel est le taux réel d’emprunt ?   Impossible à savoir ! Nous nous posons, et nous posons, toujours la même question.

Cette question est cruciale, dans la mesure où la manière de financer son activité montre quelle est la santé financière de la commune :
- Des taux fixes et raisonnables indiquent une situation confortable et saine
- Des taux variables et élevés, sans maximum indiquent une situation plus mauvaise.

Une absence d’information ne peut être qu’inquiétante !

Les taux de marché sont actuellement inférieurs à 1% sur 24 mois.
La commune bénéficie-t-elle de ces taux, oui ou non ?
Si non, on est en mesure de s’inquiéter sur sa santé financière.
Le maire prétend que la durée du prêt n’a aucune incidence sur son taux : à Clohars peut-être, mais sur le reste de la planète Terre, oui !

Rétention d’information, manipulations des citoyens avec de fausses informations : tout cela ne présage rien de bon…

LA POLITIQUE DE L’AUTRUCHE SUR L’INSECURITE NAISSANTE A CLOHARS
Concernant l’insécurité naissante à Clohars, le maire refuse de voir la réalité en face et refuse par là-même toute solution du type « Voisins vigilants ». Pourtant, de nombreux Cloharsiens semblent favorables à cette proposition, et l’étudier est un minimum avant de la refuser.

LES LECONS DE MORALE JAMAIS MISES EN PRATIQUE PAR LE MAIRE
Et voici la vie à Clohars …
L’équipe de M. Juloux inaugure en grande pompe une « place de l’expression de la liberté », à la suite des attentats odieux du 7 janvier, mais musèle tant qu’elle peut l’opposition.
Cette équipe parle en permanence de grands principes, de « vivre ensemble », de « lien social », et ne cesse de donner des leçons de morale, mais elle refuse obstinément de voir les difficultés en face et tourne les règlements à son profit à tout instant.

Petits retours du conseil du 9 avril 2015

De plus en plus souvent, M. Juloux prend des libertés avec l’ordre du jour : 2 fois le 9 avril ! Vous allez comprendre pourquoi …

1/ Ce 9 avril, le bourgmestre nous impose 2h30 de glorification des comptes de Clohars, assénés par un consultant à la solde de la commune, avant d’aborder le sujet principal, celui des finances. Cet ajout à l’ordre du jour a été fait quelques  heures auparavant, vraisemblablement pour nous décourager, et aussi, pour éviter d’avoir à nous communiquer le moindre document ! Bien évidemment, donc, les conseillers n’ont pas le support de travail, quand la presse, elle, a tous les documents en mains. Nous attendons toujours ces notes, les ayant demandées expressément, afin de pouvoir les étudier. Comment pouvoir s’exprimer, à chaud, sur un sujet complexe, sans aucun document ? Voilà une manière habile de contourner l’obligation faite au maire d’envoyer les notes de travail au moins 5 jours francs avant le conseil.

2/ Ce même 9 avril, lors de cet exposé sur les finances, une délégation « spontanée » de parents d’élèves de l’école de Saint-Maudet, fait irruption dans la salle du conseil et manifeste ainsi son opposition à une probable fermeture de classe. Pancartes à l’appui, porte-voix, enfants déguisés en sardines … L’accueil du maire est très chaleureux, et tout aussi « spontanément », ce dernier sort de son chapeau une motion toute prête à être signée, que nous approuvons à l’unanimité. A la réflexion, plusieurs questions se posent :

- De quelle classe s’agit-il, dans la mesure où l’ouverture de la classe de breton remplaçait la classe de breton ?


- Pourquoi ne pas avoir mis tout simplement à l’ordre du jour cette question importante ? Peut-être parce qu’une simple question posée au quart d’heure citoyen n’aurait pas mérité de figurer au procès-verbal du prochain compte-rendu. Voici encore une belle manière de contourner les règlements …


Petits retours du conseil municipal
19 décembre 2014

Le groupe Vivre Ici est à la disposition des citoyens. C’est pour les aider au mieux qu’il a besoin d’informations claires, en temps et en heure, et d’une écoute de la part des élus. Ce sujet a été longuement débattu au sein de ce conseil, non par un souci de « confort » pour les élus, mais bien par « efficacité » pour exercer le mandat qui est le leur.

1. Point de vue du groupe Vivre Ici sur les sujets à l’ordre du jour

I. A. Urbanisme
Vivre ici s’abstient sur le Compte-rendu de la ZAC des Hauts-de-Sénéchal. Que les sous-traitants aient travaillé, personne n’en doute. Cela étant, il ne nous est pas demandé notre avis sur le fond du dossier, que nous réprouvons. Sur le fond, il faudra bien sûr urbaniser cette zone centrale de la commune. Mais pour quel projet ? Et à quelle allure ?
Les principaux écueils à éviter :
Créer rapidement des logements sans travailler sur le développement économique est un non-sens.
Vouloir créer 5 nouveaux commerces, donc un nouveau centre ville, est irresponsable, en particulier vis-à-vis des commerçants existants qui ont des difficultés à faire vivre leur affaire.
Il nous semble indispensable de faire croître en parallèle le développement économique ET l’habitat. Ces points seront le cœur du débat du conseil du 16 janvier 2015 et nous aurons l’occasion d’y revenir.

II. INTERCOMMUNALITE
A. Schéma de mutualisation
Nous pensons qu’il est indispensable de réaliser ce schéma, et même d’aller plus loin dans la mutualisation. Mais pas n’importe comment : il est nécessaire de procéder avec équité et sens des responsabilités. L’exemple récent des prises de compétences de la Cocopaq nous conduit à en douter et à nous inquiéter : les transferts de compétences ne s’accompagnent pas, de façon transparente et automatique, des budgets et des employés. On voit donc augmenter les coûts de fonctionnement, au lieu de réduire les dépenses. Et la qualité des services n’est pas forcément assurée. Pour les 3 années à venir, lorsque, par  coups de rabot successifs, les dotations de l’Etat vont réellement diminuer, il va bien falloir mutualiser, dans l’objectif de réduire réellement les dépenses. Donc, mutualisation, oui, mais pas en continuant à augmenter les dépenses.

B. Tarifs communaux et portuaires 2015
Les tarifs portuaires plaisance augmenteront :
Le Pouldu 2%
Doëlan amont 2% 
Doëlan Intermédiaire 12% environ
Doëlan Aval 17,6%

Les augmentations de 2% sont à notre sens acceptables, mais 12 et 17 pour cent intolérables, les ports de Clohars étant fréquentés en majorité par des petits bateaux modestes… Le canot étant souvent le rêve d'une vie ou le seul "loisir de culture locale" des gens nés les pieds dans l'eau ! Marc Cornil, conseiller municipal et président de l’association des pêcheurs plaisanciers, s’est opposé à MM. Juloux et à Quernez sur ce point lors du conseil portuaire. M. Juloux indique qu’il est toujours possible de « reculer » dans une zone plus éloignée de la sortie du port, et donc moins onéreuse. Marc Cornil a également soulevé avec force la question du curage d'entretien, car il n'y aucun dossier en cours. M. Quernez pense qu'il faut au moins six ans pour obtenir les autorisations, et Marc Cornil a donc demandé que le dossier soit commencé au plus tôt, ce en quoi nous n’avons aucune certitude. De façon générale, l'argument de l’équipe en place consiste à penser que les usagers doivent bien payer les travaux du port : aujourd’hui les travaux de la digue, demain le curage et par la suite, d’autres travaux d’entretien. Nous considérons qu’il faut sortir de cette équation : demander plus de subventions, demander plus de participations aux seuls usagers. Il faudra vraiment réfléchir à une économie sur le long terme de nos ports :
Comment équilibrer leur fonctionnel ? Comment développer l’attractivité de nos ports, avec des activités marines et terrestres, de manière à faire participer le public, les touristes et les professionnels qui vivent de cet environnement portuaire ? Encore une fois, il faut « sortir par le haut », chercher des idées, être créatif, et ne pas systématiquement se retourner vers les usagers pour financer l’intégralité des coûts du port. Cette attitude ne peut que tuer la vie du port, déjà fragilisée par la crise économique actuelle.

III. Personnel communal
Création de l’équivalent d’un demi-temps plein. Les tâches à remplir sont à effectuer et il est nécessaire de trouver des solutions. Cela étant, le groupe Vivre Ici se demande s’il ne serait pas judicieux de faire un travail de fond sur l’organisation actuelle des services, afin de l’améliorer et d’optimiser le travail des uns et des autres, d’éviter une augmentation des effectifs. Il s’agit d’un effort de productivité, que tous devront faire : autant s’y mettre dès maintenant. Encore une fois, les dotations vont diminuer, et toute dépense inscrite durablement – tel que de nouveaux emplois - ne pourra plus être supprimée par la suite. Il faut travailler différemment, s’organiser différemment, et c’est un travail à faire par les équipes en place. Demander des subventions, des budgets, des enveloppes, des dérogations, etc. aux autorités publiques ne peut plus être le seul moyen de gérer.

2. Questions orales

1. Comment améliorer le travail de l’opposition ? Rétention d’information et méthodes pour le moins répréhensibles : la colère gronde du côté de l’opposition.

Aujourd’hui, nous considérons que nous ne pouvons pas représenter correctement la population.

RETENTION D’INFORMATION 
Nos boîtes aux lettres ne contiennent aucune information sur la vie de la commune, autre que des publicités pour des spectacles et des invitations mondaines. Nous demandons d’avoir accès à toute l’information, sans avoir à la quémander.
Après une demande d’information lors du conseil municipal du 10 juillet, et après plusieurs relances, M. Juloux nous a reçus … le 15 décembre. Nous demandons d’avoir accès plus facilement aux élus et aux documents lorsque c’est demandé.

COMMISSIONS …
AVANT. Nous sommes convoqués très tardivement (ex. par mail le lundi matin pour le mercredi soir, sur un sujet d’importance, le règlement intérieur). Nous demandons d’être convoqués par courrier au moins une semaine avant la commission.
AVANT. Les documents préparatoires aux commissions ne nous sont pas envoyés à l’avance. En revanche, systématiquement, il nous est demandé de « voter » en fin de commission, pour savoir si nous sommes d’accord avec le projet en question. Nous demandons les documents à l’avance et refusons de devoir nous exprimer à chaud, sur des documents que nous découvrons en séance ;
HORAIRE des commissions. 16h30 le vendredi (urbanisme, semaine dernière) : nous n’avons pas pu nous libérer, travaillant à des horaires de salariés ; nous demandons des horaires compatibles avec ceux des salariés ;
PENDANT. Nous n’avons pas les documents dans les commissions ou les comités de pilotage. Avant : jamais. Pendant : un ersatz, ou à force de demander (commission urbanisme : nous avons eu le tableau vide, pendant que les autres membres avaient le tableau rempli. Comité de pilotage  des Hauts-de-Sénéchal : 200 chiffres illisibles au tableau pendant que les autres avaient le document papier. « Vous êtes là pour écouter, pas pour lire ! », nous dit une conseillère pourtant modérée habituellement. A force de demander, il a été accordé un zoom au tableau, toujours illisible. Puis, nous avons obtenu une copie papier des données financières du projet. Les exemples fourmillent) ; nous demandons les documents définitifs 10 jours avant la commission, comme cela se pratique dans d’autres communes ;
APRES. Les comptes-rendus de commissions ne nous sont pas systématiquement donnés ; nous ne savons même pas s’ils existent … Nous demandons tous les comptes-rendus des commissions ;

CONSEILS MUNICIPAUX …
PLANNING. Il n’y a pas de planning des conseils municipaux, ne serait-ce que trimestriel. La Cocopaq a sorti le sien, donc il est facile de se caler dessus. Nous sommes informés 3 ou 4 jours avant, quand nous recevons les documents ; nous demandons un planning prévisionnel des dates de conseil, au moins trimestriel ;
AVANT. Les documents des conseils municipaux arrivent 3 ou 4 jours avant les séances ; les conseils étant fixés le jeudi en général, nous les recevons le lundi, ce qui est trop tard ; nous demandons de recevoir le samedi matin les documents pour les conseils du jeudi soir, au moins par mail ;
ORDRE DU JOUR LIBRE. Le règlement intérieur permet au maire d’ajouter à la dernière minute tout sujet qu’il considère comme important : nous n’avons aucun moyen de limiter cela, de préparer quoi que ce soit. Nous demandons que cette option soit strictement exceptionnelle ;
PENDANT. Enregistrement des séances publiques. Elles sont interdites par M. Juloux, alors que la jurisprudence les autorise expressément. Nous informons que nous les mettrons en place dès début 2015.
A LA FIN. Les questions orales sont limitées au maximum par le règlement intérieur qui prévoit que le maire peut toujours surseoir s’il n’a pas tous les documents, et que le droit de réponse n’existe pas. Nous demandons que les réponses soient faites en séance ; REPONSES AUX QUESTIONS ORALES. Les réponses faites aux questions ne répondent pas à notre question, mais à une autre. Une réponse fleuve pour noyer le poisson mais pas de réelle réponse à nos interrogations. Voir le compte-rendu du dernier conseil, avec un exemple évident de cette technique. Nous demandons que les réponses correspondent à la question posée, et sans avoir à insister pour cela.

NOS LIENS AVEC LES CLOHARSIENS …
Les bureaux alloués ne peuvent recevoir du public – c’était le cas sous la mandature précédente. Nous souhaitons pouvoir rencontrer régulièrement les Cloharsiens ; M. Juloux nous autorise finalement à recevoir du public, après quelques tergiversations ;
Nous ne sommes pas invités au repas des anciens et aux autres soirées : pourquoi nous ne sommes pas tous invités ou conviés à participer ? Nous demandons d’y être invités systématiquement.
A cette question, relative aux conditions de travail de l’opposition, M. Juloux répond globalement qu’il s’agit d’une « litanie de points négatifs ». Il s’agit d’un pur déni de démocratie : ne pas répondre aux questions posées … Nous avons constaté que pour le conseil du 16 janvier, nous avions été informés 10 jours à l’avance, et avions reçu par porteur les documents une semaine avant l’échéance : cela est capital afin de pouvoir préparer les dossiers convenablement. Nous avons donc eu raison de demander haut et fort, de mettre en place ce qui se pratique dans toutes les mairies normalement organisées. 

2. Médiathèque. Nous demandons de savoir combien de Cloharsiens paient effectivement leur entrée. Les rentrées sont de l’ordre de 20 000 €, comparés aux budgets de fonctionnement … M. Juloux n’en a aucune idée, et prétend même que ce calcul est impossible à réaliser : de qui se moque-t-on ? Ne pas savoir combien d’entrées sont payantes ? Il nous répond systématiquement par le nombre d’inscriptions totales. 

3. Nous demandons combien d’actions en justice ont été intentées au Tribunal administratif concernant le PLU. La réponse est 13.

4. 2ème anniversaire de l’acquisition de la friche industrielle de Doëlan : où en sont les investissements promis ? Est-il vrai que la Cocopaq envisage d’acheter la friche, auquel cas, ce serait toujours le contribuable qui paierait les errements de l’équipe en place ? M. Juloux, ne répondant à aucune de ces questions, entame alors une répartie totalement incongrue : «  et où sont donc les investissements promis par votre mari lors de la campagne l’an dernier ? ». La réponse est multiple :
A ma connaissance, qui a lancé ce projet ? la réponse est clairement : M. Juloux. A lui de trouver les investisseurs ! C’était son idée !
Le marché de l’immobilier n’a cessé de se dégrader et les investisseurs présents l’an dernier ne le sont plus aujourd’hui ;
Les négociations entamées avec les principaux protagonistes de l’affaire, et en particulier le propriétaire de la maison au cœur du terrain, l’ont été dans de telles conditions avec M. Juloux qu’on peut douter de la possibilité d’aboutir à un accord dans de telles conditions ; Enfin, depuis peu, M. Juloux a accepté le débarquement d’algues quai Larzul, dans le cadre du projet Algolesko. Il est clair qu’une telle décision tue définitivement le projet hôtelier, quel qu’il soit.

5. Françoise Robino, conseillère municipale quitte ses fonctions. Nous souhaitons la remercier vivement pour son implication, sa pugnacité et sa clairvoyance sur de nombreux dossiers. Laissez-moi  vous rappeler l’historique de son activité au sein de la commune. Francoise a été élue une première  fois  conseillère municipale d'opposition en 2008 sur la liste de René Le Floch , elle siégea 4 ans au conseil jusqu'en 2012 puis démissionna pour des raisons que nous connaissons tous. Elle a beaucoup travaille et œuvre pour les Cloharsiens malgré ce temps d'interruption.  C'est tout naturellement qu'en 2013, elle s'engage à nouveau auprès de Véronique Galliot pour défendre les valeurs qui sont les siennes. Aujourd’hui, elle décide de démissionner afin de s'occuper de ses deux petits fils tout en restant disponible pour les Cloharsiens et ses anciens colistiers. Nous lui souhaitons bonne continuation, la remercions pour son implication, et ne manquerons pas de faire appel à elle autant que possible ...

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Ordre du jour du Conseil Municipal en séance ordinaire
Le jeudi 10 juillet 2014 à 20 H 30

I - LECTURE ET APPROBATION DU COMPTE RENDU DE LA DERNIERE SEANCE

II - URBANISME :
A. Rétrocession des terrains au Rostel suite à la demande des propriétaires expropriés dans le cadre du projet de station d'épuration
B. Nomination de voie : moulin de Kerhere

III - INTERCOMMUNALITE : PRESENTATION DU RAPPORT D’ACTIVITE 2013 DE LA COCOPAQ

IV - MARCHES PUBLICS :
A. Attribution du marché de restauration scolaire
B. Information sur l’attribution du marché d’acquisition de la nouvelle balayeuse

V - FINANCES :
A. Assainissement : admission de dérogations à l’obligation de raccordement et définition des critères
B. Indemnités de conseil allouées au receveur principal
C. Information relative à la souscription des emprunts sur les budgets portuaires
D. Tarifs portuaires : création d’un tarif pour l’enlèvement des annexes

VI – PERSONNEL :
A. Fixation du nombre de représentants du personnel au comité technique et au CHSCT et décision du recueil de l’avis des représentants de la collectivité

VII - DIVERS :
A. Autorisation de signer la convention avec le conseil des Sages
B. Autorisation de signer le Contrat Enfance Jeunesse avec la CAF
C. Rapport 2013 sur le prix et la qualité du Service Public d’assainissement
D. Rapport 2013 sur le prix et la qualité du service public de production et de distribution d’eau potable du syndicat mixte de production d’eau de Quimperlé

E. Rapport 2013 sur le prix et la qualité du service public de production d’eau potable du syndicat des eaux de Riec sur Belon


Conseil municipal du 23/04/14
La vision de l’opposition


Des notes sur les conseils : pour quoi faire ? Un souci de transparence
Vous trouverez ici dans nos notes un compte-rendu du conseil municipal, ou notre vision de la situation. Ces notes ne sont pas exhaustives et nous vous encourageons tous à venir assister aux conseils municipaux. Ils sont très instructifs à plusieurs titres. Afin de savoir :
-      quels sont les sujets qui animent en ce moment la commune ? Les grands dossiers sont tous présentés, normalement
-      qui parle et qui a le droit de parler ? Vous jugerez par vous-même !
-      que dit le groupe Vivre Ici, et quelles réponses sont apportées ? Nous allons garder une trace de toutes les questions que nous posons, et ne manquerons pas de demander des précisions complémentaires si les réponses nous semblent insuffisantes ; nous pourrons aussi instaurer un débat public pour les sujets majeurs, tenant à la vie de la commune ;
-      comment se déroule le quart d’heure citoyen et quelle est son utilité si vous avez des questions d’ordre général à poser ? Vous pouvez poser directement des questions générales à la fin du conseil municipal. En général, les questions sont écoutées, toutes ensemble, et une réponse est apportée à chacune par la suite, globalement, sans donner de droit de suite aux citoyens. Plus gênant, ces questions ne figurent pas dans le compte-rendu du conseil municipal : nous vous proposons – si vous le souhaitez – de transmettre vos questions importantes à un élu de l’opposition qui posera lui-même la question. Cette question sera alors notée au compte-rendu du conseil municipal et la majorité aura une obligation plus forte d’apporter une réponse argumentée à votre question. Nous sommes à votre disposition pour poser vos questions !

Dans un souci de transparence, nous avions proposé aux Cloharsiens de transmettre en direct tous les conseils municipaux sur internet. Lors de ce premier conseil, nous avons demandé l’autorisation de les enregistrer pour pouvoir les publier en différé sur notre blog : de nombreuses communes, dans le cadre des villes Open Data (www.opendatafrance.net), vont vers ces solutions d’ouverture et de transparence. C’est un risque, car il est toujours possible, quelques années plus tard, de faire resurgir telle ou telle prise de position : mais c’est un risque pour tous.  Que nous assumons parfaitement, et que nous souhaitons prendre, avec vous et pour vous. Nous attendons la réponse de la mairie sur cette question. Oralement, le maire a noyé le poisson, en parlant de « comptes-rendus fleuves de certaines communes, qui ennuient tout le monde … » La transparence n’ est décidément pas à l’ordre du jour à Clohars.

Un accueil plus que mitigé pour le groupe d’opposition Vivre Ici
Lors du conseil inaugural, le 5 avril, qui a permis d’installer le conseil municipal, le maire n’avait pas jugé nécessaire d’accueillir les nouveaux élus d’opposition.
Le 24 avril, les élus Vivre Ici ont eu un mot d’accueil, bien vite noyé dans l’accueil chaleureux fait aux anciens élus venus assister au premier conseil. Ces élus qui se considéraient comme « n’appartenant pas à la majorité ». Aujourd’hui, comme l’a souligné la presse dès le 25 avril, les nouveaux élus se positionnent clairement dans l’opposition.  Le ton est donné.

Demande de local pour le groupe Vivre Ici
Les communes de plus de 3500 habitants doivent fournir un local au groupe d’opposition. Nous en avons fait la demande et attendons la réponse.
Le groupe Vivre Ici souhaite, comme de décembre à mars 2014, pouvoir vous accueillir et travailler avec vous sur les sujets qui vous préoccupent.
Nous avons également besoin de continuer à nous réunir, accueillir de nouveaux sympathisants et être un lieu de vie et de gestation d’idées, de visions et de projets pour tous. Grâce à vous, notre groupe représente déjà un Cloharsien sur deux, bientôt largement plus.
Une permanence hebdomadaire sera proposée.

L’allocution de Véronique Galliot du 5 avril 2014
Sur invitation du maire, Véronique Galliot a pris la parole le 5 avril, pour une allocution d’introduction de la nouvelle mandature. Le compte-rendu qui en était fait par l’équipe en place étant pour le moins partial, le groupe Vivre Ici a demandé de modifier ce texte. Le maire n’a pas accepté de modifier le texte, mais a simplement ajouté en annexe notre compte-rendu …
Ci-dessous l’allocution de Véronique Galliot

« Véronique Galliot est maintenant largement connue et reconnue, à travers les 49,33% de voix obtenues lors des dernières élections municipales. Cela est le résultat du travail de toute une équipe, une équipe compétente, soudée, représentant l’intégralité de la population, tant dans sa composante géographique, qu’à travers tous les métiers représentés, ainsi que toutes les tranches d’âge.
Véronique Galliot tient à rendre hommage au travail réalisé, au grand sens de l’écoute qui a régné dans l’équipe, ce qui n’a pas été le cas dans d’autres groupes, à une très grande disponibilité des uns et des autres et à un véritable respect mutuel. Elle souhaite que cette qualité relationnelle s’installe dans les relations à venir au sein des élus de la commune.
Véronique Galliot a rappelé quelles étaient les grandes priorités de son programme, qui a retenu l’attention d’un Cloharsien sur deux :
  1. Tout d’abord, mettre l’économie et la recherche de l’emploi au cœur des préoccupations des élus. Le développement économique est l’obsession de la France à tous les niveaux, y compris au plus haut niveau, et cela passe bien évidemment aussi par des actions au plan local : personne ne peut le nier ;
  2. La mer. Clohars est une commune littorale, qui vit pour et par la mer. De nombreux dossiers, économiques, touristiques, culturels, sont axés sur la mer que nous devons remettre au centre de nos priorités, qu’il s’agisse des ports de Doëlan et du Pouldu à entretenir, ou des nombreuses activités professionnelles ou de loisir – les plages, le surf, la voile, la pêche …-, qui se déroulent sur la mer, avec la mer ;
  3. Enfin, pour faire court, l’avenir de Clohars passe par le déploiement de la Cocopaq. Nous n’avons d’autre choix que de rendre cet échelon administratif et politique à la fois transparent, efficace et meilleur gestionnaire. Il en va de la survie de nos entités locales. Nous serons très vigilants sur ce point, comme sur tous les autres, pour éviter toute dérive financière.
Enfin, Véronique Galliot a souhaité remercier vivement tous les électeurs cloharsiens qui lui ont fait confiance et auraient souhaité donner une autre impulsion à leur commune. Représentant la moitié des habitants, qu’ils sachent que leurs souhaits ne seront pas oubliés et que le travail très important qui a été réalisé pour préparer un programme reprenant les idées de tous ne sera certainement pas abandonné. Il sera défendu, ici même. »

Composition des cinq commissions municipales

Vous trouverez dans la rubrique « Contact » de notre blog la liste des élus et des commissions communales auxquelles ils participent.
Il n’y a que cinq commissions, qui se réuniront à un rythme mensuel environ.

Pour mémoire :
A. Composition des commissions communales

         Commission                                       Titulaires (2)                              Suppléant(1)
1. Commission des finances                            Jean-René, Véronique                  Stéphane
2. Commission urbanisme et travaux                Françoise, Véronique                   Marc
3. Commission économie, ports, environnement Stéphane, Marc                          Véronique
4. Commission culture, tourisme, solidarités       Françoise, Catherine                    Jean-René
5. Commission sports, éducation, jeunesse        Catherine, Stéphane                    Françoise


B. Composition de la commission d’appels d’offres
Notre proposition : membre, Véronique Galliot ; suppléant, Jean-René Hervé.

C. Délégations auprès des instances extra-communales

D. Majoration du crédit d’heures de délégation accordé aux élus.

E. Fixation des indemnités des élus.

Des indemnités toujours en hausse
Nous n’avons pas apporté notre soutien à la fixation des indemnités des élus. Nous aurions souhaité, en période de vache maigre, limiter le nombre d’adjoints, et limiter leurs indemnités.

Nos questions :
  1. Est-il prévu de diminuer les indemnités ? La proposition de la liste Vivre Ici, d’une économie de 5% sur l’enveloppe des indemnités permettait d’économiser 25 000 euros sur la période, et de les consacrer au développement de l’emploi. Réponse : « non »
  2. Est-il prévu d’indemniser tous les conseillers, comme Moëlan, Quimperlé et comme la liste Vivre Ici le proposait d’ailleurs ? 40€ par mois, cela représente 720 € et aurait pu facilement être trouvé dans les indemnités du maire et des adjoints. Réponse : « Quimperlé, par son statut, bénéficie de ressources que nous n’avons pas. Si nous bénéficions un jour de ce type de ressources (dont le nom très technique nous a échappé, ndlr), nous le ferons. » Vous noterez avec nous que Moëlan ne dispose pas de ces ressources supplémentaires, et a cependant trouvé les moyens de réduire les indemnités de l’équipe municipale. Ce n’est décidément absolument pas à l’ordre du jour à Clohars.
 F. Délégations du conseil municipal au maire.
De nombreuses délégations sont demandées, afin de permettre au maire de réaliser avec plus de souplesse des opérations jugées normales.
Nous demandons qu’une information précise soit apportée sur ces opérations réalisées par délégation. La réponse est : « oui ». Restera à le vérifier.
Certaines délégations nous paraissent normales, d’autres peuvent déboucher sur des décisions importantes, dans des domaines sensibles tels quel l’urbanisme. Le vote étant global, nous nous positionnons contre.


Quelles subventions pour quelles associations ?

A. Subventions 2014 aux associations
Les propositions de subventions aux associations reprennent quasiment celles de l’an dernier. N’ayant pas participé aux commissions préparatoires, nous posons des questions sur le mode d’allocation des subventions. Il reste de nombreuses zones d’ombre, sur lesquelles nous serons amenés à revenir.

B. Création de tarifs pour l’affichage associatif
Le libellé est trompeur. L’affichage associatif, dans les panneaux protégés prévus à cet effet, est gratuit. Ce sont les dégradations et pertes de clés, qui sont payants.
Vote pour.

C. Personnel.
Une fois encore, nous n’avons pas été associés à la préparation de ces décisions, compte-tenu du démarrage du travail. Nos positions n’en sont que plus difficiles à prendre.

A. Remplacement.
Sur le principe, oui.  Sur le choix, nous nous interrogeons sur les modalités de recrutement du « chef de port » en remplacement temporaire. Réponse : « ce n’est pas le lieu et les questions personnelles ne sont pas débattues au conseil municipal. » Il est néanmoins légitime de se demander dans quelles conditions sont réalisées les embauches dans la commune.
Parmi nos questions :
-      Les Cloharsiens ont-ils un réel accès à ces postes ?
-      Les compétences des recruteurs et des recrutés sont-elles au cœur du dispositif de recrutement ?
C’est un point sur lequel nous reviendrons.

B. Recrutement agents non titulaires, saisonniers
La saison approche et de nombreux besoins ponctuels se font sentir. Nous approuvons le recrutement de saisonniers pour les fonctions proposées.
Nous remarquons qu’il est noté que : « les crédits correspondants sont inscrits au budget » : combien ? Il nous est répondu qu’il est impossible de prévoir à l’avance. A l’euro près, oui, mais une enveloppe de crédit, non. Nous considérons qu’il nous est demandé de voter un chèque en blanc.

C.  Postes d’avenir

1.      Service espaces verts. Les besoins en matière d’entretien des espaces verts augmentent. Cela étant, en l’absence d’une vision claire sur l’organisation actuelle des missions techniques de la commune, nous ne pouvons accepter de créer de nouveaux postes définitifs. Nous aurions préféré travailler à une plus grande polyvalence des personnels, ainsi qu’à une diminution des tâches administratives de suivi des opérations, permettant de dégager du temps sur le terrain. Ces questions d’organisation seraient à étudier avec les équipes. Visiblement, ce n’est pas la priorité de l’équipe en place.
2.      Service entretien des bâtiments. S’agissant d’un remplacement, nous votons pour.


D. Poste d’adjoint technique, Temps Non Complet. Pour.

 Divers. Convention AmzerZo : plan de défaillance électrique

Plan Electrique Amzer Zo
Passer de 12 heures à 06h00 est un progrès mais pourquoi faut il  encore six heures pour passer sur un GE, c’est assez incompréhensible car des solutions simples existent.


Questions diverses :

1. Chemin côtier entre le « parking Groix » et le quai Sancéo
Avez-vous l’intention de le remettre en état avant la saison ?
En effet d’un côté vous demandez à l’armateur du Kistinic d’améliorer sa prestation. Ce dernier le fait et paie les différentes taxes et installations de mouillage. La commune ne peut donc décemment pas réduire sa prestation vis-à-vis de ce service touristique en occultant cette réparation indispensable pour maintenir le niveau de remplissage du navire. Pour beaucoup de passagers, le cheminement piéton en l’absence de réparation est bien trop long.
Réponse : « a priori non, pour des raisons de sécurité d’une part, et d’accès à la propriété adjacente d’autre part. » N’aurait-on pas pu trouver une solution pour la saison ?

2. Aire de carénage.
La totalité des usagers maritimes pêcheurs professionnels et plaisanciers est en attente insupportable  de l’incitation à la création d’une aire de carénage ; aire adaptée à tous les navires fréquentant nos ports et non pas adaptée à seulement certains types de bateau. Ceci est urgent aurons nous  une réponse positive de votre part et pourrons nous en débattre ? Nous attendons la réponse.


3. Chemin de Porsac’h. Concernant la réfection du chemin qui va du village de Kervellan à la crique de Porsach) :
  1. avez-vous effectué une DICI (Déclaration  d'Intention de Commencement de Travaux) auprès des réseaux concernés (Saur, EDF,..) car suite au recouvrement par béton du chemin, les regards et purges du réseau d'eau de trois maisons ont été enterrés. Que se passera-t-il quand il faudra y accéder ?
  2. La loi littoral dans le sens parallèle de la mer doit faire l'objet d'une autorisation de la commission des sites. Cela a-t-il été fait ?
  3. Lors des travaux, une ligne téléphonique a été arrachée, quand sera-t-elle réparée ? La mairie n’était pas informée.
Sur les autres points, des réponses seront apportées.

4. Question de la fermeture de la classe à Saint-Maudet. Cette fermeture est-elle liée à la sectorisation (obligation pour des familles d’inscrire leurs enfants dans une école de leur secteur géographique) ? Réponse : « non, les familles peuvent demander une dérogation, elles sont toutes acceptées, et les chiffres montrent que la sectorisation n’est pas en cause. » On se demande alors pourquoi une classe ferme alors que de nouvelles familles arrivent sur la commune. Dossier à creuser.


ORDRE DU JOUR DU CONSEIL MUNICIPAL
DU 23 AVRIL 2014

I -         LECTURE ET APPROBATION DU COMPTE RENDU DE LA DERNIERE SEANCE

II         AFFAIRES MUNICIPALES:
A.        Composition des commissions communales
B.         Composition de la Commission d’Appel d’Offres
C.        délégations auprès des instances extra communales
D.        Majoration du crédit d’heures de délégation accordé aux élus
E.         Fixation des indemnités des élus
F.         Délégations du Conseil municipal au Maire

III.       FINANCES:
A.        Subventions 2014 aux associations
B.         Création de tarifs pour l’affichage associatif

III – PERSONNEL :
A-        Autorisation de recruter des agents non titulaires dans le cadre de remplacement d’agents fonctionnaires ou non titulaires momentanément absents
B-         Autorisation de recruter des agents non titulaires compte tenu de l’accroissement temporaire et saisonnier d’activité
C-        Autorisation de créer 2 postes en contrat d’avenir
D-        Autorisation de créer un poste d’adjoint technique 2ème classe à TNC


IV - DIVERS : Convention avec AMZER ZO : plan de défaillance électrique

1 commentaire:

  1. Le Thoër Roland15 mai 2014 à 10:05

    Merci pour toutes ces intéressantes précisions . Cordialement .

    RépondreSupprimer